Logo

Actualité

De l’œuf au poussin dans une nurserie à la pointe de la technologie


Vanessa Lam

Vanessa Lam

7 novembre 2018 à 17:17

«La viande de volaille a actuellement une bonne dynamique sur le marché, il y a un gros trend. C’est une viande considérée comme saine. Elle est très appréciée», lance Philippe Messer, chef de la division volaille chez Micarna. «40% de la viande de volaille consommée aujourd’hui en suisse est importée, Micarna a à cœur de produire plus de viande indigène. Nous fournissons déjà 40% du marché suisse, mais nous souhaitons augmenter cette part.»

Pour répondre à la demande, l’entreprise a établi une vision stratégique à l’horizon 2050, afin de développer et moderniser ses installations dans laquelle s’inscrit directement le couvoir avenchois.

Ancien contre nouveau

Encore aujourd’hui Micarna exploite le couvoir de Granges-Marnand, mais le bâtiment qui date des années 60, est vétuste, et le site ne peut pas être agrandi. Pour cette raison, la société se met en quête d’un nouveau terrain. Le nouveau complexe, encore en travaux, budgété à 25 millions de francs, prendra progressivement la place de l’ancien à partir de janvier 2019.

«Les activités de Granges-Marnand seront progressivement transférées à Avenches, pendant un temps, les deux couvoirs travailleront en parallèle pour que les quatorze employés aient le temps de se familiariser avec les nouvelles installations», informe Anton Grub, responsable des projets stratégiques volaille.

  • Suite de l'article et plus d'infos dans notre édition de la semaine.

Ce contenu provient de notre ancien site web. Il est possible que sa mise en page ne soit pas idéale. En savoir plus