Logo

Actualité

Fredy Monod est parti vers d’autres horizons

Fredy était né le 15 juin 1950, 3e enfant d’Albert et Lisette Monod à Brenles. A l’issue de l’école, il a effectué un apprentissage de mécanicien de précision à la Fibre de Lucens.


Caroline  Monod

Caroline Monod

23 juillet 2020 à 02:00

Fredy était né le 15 juin 1950, 3e enfant d’Albert et Lisette Monod à Brenles. A l’issue de l’école, il a effectué un apprentissage de mécanicien de précision à la Fibre de Lucens.

En 1973, il a épousé Marguerite Monney. De cette union sont nés Thierry et David. La famille s’est agrandie et Fredy a eu l’immense bonheur d’être le grand-papa de quatre petits-enfants.

Après 43 ans d’activité auprès de l’entreprise Schindler Ascenseurs SA, il profitait d’une retraite bien méritée. Bricoleur hors pair, il entretenait avec soin sa superbe villa à Chénens et rendait de nombreux services à ses connaissances.

Dans leur maison de si bon accueil, entourée du jardin joliment fleuri, il aimait avec Maguy partager des moments de convivialité. Apéritifs sur la terrasse ou au carnotzet rythmés par la musique du juke-box. Autour d’un verre, Fredy avait toujours en réserve de bonnes blagues à raconter. Il avait une façon d’être, chaleureuse et simple, qui faisait qu’on se sentait bien en sa compagnie.

Membre de l’Abbaye des Nations de Brenles, il était bon tireur et bon danseur, il ne manquait aucune édition de cette traditionnelle fête de son village natal. Fredy était un homme plein d’entrain qui savourait les moments d’amitié.

Fredy détenait un faible pour les belles voitures: les Ferrari notamment, mais également pour les old-timer qui lui rappelaient sa jeunesse. Ainsi, le Meeting international de VW Cox à Château-d’Œx était un événement incontournable auquel il participait volontiers avec sa famille.

Fredy avait des projets plein la tête. Malheureusement, le destin en a décidé autrement. Le 23 juin, une semaine après son 70

Lors de la cérémonie d’adieu, un vibrant hommage lui a été rendu. Le Chœur mixte d’Autigny a chanté trois chants que Fredy appréciait particulièrement. L’église fut remplie d’une vive émotion à l’écoute de ces magnifiques interprétations.

En ce triste mardi après-midi, Fredy a rejoint l’infini, mais il aura marqué d’une empreinte indélébile les mémoires.

Ce contenu provient de notre ancien site web. Il est possible que sa mise en page ne soit pas idéale. En savoir plus